Des plantations en adéquation avec le site

Les plantations aux alentours de la centrale de Bellefontaine seront adaptées à la fois aux conditions d’un site littoral de la côte sous le vent et aux contraintes d’une activité industrielle.

Plusieurs arbres existants ayant atteint un développement important et participant à l’ambiance particulière aux abords de l’ancienne sucrerie ont été conservés.

Au niveau de l’accès au site, une plantation d’une parcelle de canne à sucre rappellera l’histoire du lieu.

Préserver la qualité de l’air

L’utilisation d’un combustible à teneur limitée en soufre minimise les rejets de dioxyde de soufre.

Les moteurs diesel de nouvelle génération permettent une économie de 15 % sur la consommation de combustible, et en conséquence moins d’émissions atmosphériques d’oxydes de soufre et de CO2.
Chaque moteur est par ailleurs équipé d’un dispositif catalytique qui réduit de 85 % les émissions d’oxyde d’azote.

La hauteur des cheminées a été calculée pour assurer une bonne dispersion des fumées. Cette dispersion est encore améliorée par la présence des alizés.

Réduire les nuisances sonores

Les moteurs sont disposés dans des cellules individuelles afin d’atténuer au maximum le bruit, les vibrations et le risque d’incendie.

Aux abords de la centrale, le niveau sonore correspond à celui d’une conversation courante (soit 65 décibels).

Limiter l'utilisation en eau

Grâce au système de dessalement de l’eau de mer, le site de Bellefontaine ne prélève pas l’eau dans la nappe phréatique.

L’utilisation d’eau pour la réfrigération des circuits d’air est très limitée grâce à l’utilisation d’aéro-réfrigérants secs. Cette technologie évite la consommation de 70 000 m3 d’eau par an, soit la consommation annuelle d'une ville de 10 000 habitants.

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